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ce n’est pas un choix, c’est de la survie

Des Profiturs, des Délinquants Qui s’attaqueent aux maisons et pour lessentiers la vie des particules? Les squatteurs racontent une autre réalité … Témoignages.
Le Squatteur N’a pas Bonne Presse, en France, et sur l’imagine Volontiers Comme un Parasite s’introduisant sans scrupules dans les LES PRIVÉS, Saccageant Les Lieux et Ruinant La Vie De. En France, des Milliers de Personnes, Jeunes, Familles, Enfants, Occupent des Bâments vides par Nécesté. Leur Quotidien est Marqué Par L’Insecurité, La Précarité, et l’Espoir de Trouver un Vie plus Digne. Témoignages à Contre-Courant des IDÉES RÉCUSE.
Le squat de maisons en France: un phénomène pointé du Doigt … MaisS assez rare
En 2023, La France Comptait Officellement plus de 300 000 SANS-Domicile-FixeSelon Le Rapport de la Fondation Abbé Pierre (2019). Le Chiffre Aurrait Doublé en Dix Ans, Aggravé Par la Crise Sanitaire et la Hausse des Loyers … une Partie de Cees Personnes survivent dans les squats: des bâtiments Abandonnés, Sans Autorisation D ” Le Droit à un unbilment décent est un principe à Valeur Constitutionnel.
Pourtant, dans l’opinion publique et les Médias, le Squat Suscite Réguliés Tensions et colèreNotamment à Travers Les Cas Médiatisais d’occupations de Résidences Principales ou secondaires … pourtant, tous les squatteurs ne s’introdUisent Pas dan Dans Des Logations habitus. Le Phénomène est Même Assez Rare : Selon Les Donnés du Ministère du Logation en 2024, Seulement 5% DES Occupations illagales Concerntent des Squats, et La Grande Majorite d’Entre Eux vise des bâtiments abandonnés depuis des anne : Entrepôts Dépiets, Friches Industrielles, Immeubles Vacants Ou Locaux Inocupés APPARTENAN Le Profil de Ces “Squatteurs” EST bien Loin des Clichés …
ANCIEN SCATTERUR, IL TÉMOIGE: “Sur N’OCCUPE PAS LE CANAPÉ DE VOLRE Grand-Mère”
Lucas, 28 ans, un connu la rue Dès l’âge de 19 ans. Il raconte fils histoire au Jean Moulin Post en Mai 2021. Faute de Garant et de Moyens Financiers Suffisants, il a Vite Compris Qu’Accéder au Logation Traditionnel ÉTait impossible. AVEC D’AUTRES JEUNES, IL A DONC Investi des entrepôts Laisson Vacants Depuis des Années. “Ce N’hétait pas un Choix, C’ÉTait de la survie”, confié-t-il au Média. Lucas et Son CollectIf Investissaient Unilement Des Bâments Industriels Abandonnés. “Sur N’OCCUPE PAS LE CANAPÉ DE VOTRE Grand-Mère. Sur Aménage des Ruines verse en Faire des Lieux de Vie”.
Les Jeunes Nettoyaïent Les LES LES, LES RÉPARAIENT ET Y ORGANISAIENTS MÊME DES DES EXPOSITIONS artistiques, Créant Un Lien InAtendu Avec le Quartier. Malgré tout, ils at dû apprendre à y vivre sans eau chaude, sans chauffage, et avec le risque permanent d’être expulsés. «Tous Les Six Mois, sur les Ailleurs de recommandation. C’est triste de quitter un liseu ’on a Reb deti, Mais sur d’a pas le choix “Expliquez Lucas. Il regrette que les squatteurs Suscitent de la Méfiance, Voire du Rejet, et Qu’ils SoIENT TOS MIS DANS LE MÊME PANIER. “Sur le VOIT COMME DES DÉLINQUANTS, Mais sur Cherche Juste à Vivre un Peu Dignement”. Un réalité que partagent par Des Milliers d’Autres, Jeunes et Moins Jeunes, en France.
Des ados Vivant dans les squats racontent leur quotidien difficile
Verse de nombreux enfants et adolescents, le squat est devenu la seule alternative à la rue. En 2024, l’unicef Alertait: “Il n’y a jamais eu autant d’enfants à la rue”, Avec plus de 2 000 enfants Laissons Sans Solution d’Hébergement en une Seuse nuit d’Été (Baromère unicef, 2024). C’est le cas de Nermine, 11 ans, et de Sekou John, 13 ans, Qui vivent des avec lers familles danans un squat lyonnais, L’appartement de l’ONU Laissé Vide Depuis 2016. Ils temoignent pour L’étudiante. Leurs Journees Commencent dans Le Froïde, leurs Nuits Sont Souvent ÉcourTés Par l’InCoft et La Peur d’être Expulsés. «Il fait froide, alor sur le dort avec un drap sur toi, j’arrive à l’école fatigué, mais les profs ne posent pas de questions», Raconte Sekou, qui peine à faire ses Devoirrs dans cette hachet hachet deppeuplee, constamment bruyante.
Le squat, coulant, N’efface pas leurs rêves. Samy, 14 ans, le fils de Prépare Brevet et espère une vie meilleure. Sa Mère, Amina, Raconte: “Mon fils veut fête un bon ÉLève, Mais le plus complié, c’est Le stress de l’Expulsion “. Ces enfants Vivent dans L’Ombre, Souvent Contraints de Cacher Leur Situation à les Camarades par Peur du REJET. “Je lui Ai Dit de Garderer Secret Secret pour Elle”, Confie Zouleikha, La Mère de Nermine. Voiture si l’école repsente uné échappatoire, La Précarité Pèse Lourdement sur Leur Scolaté.
Face à L’Ampleur du Phénomène, Les Solutions SE FONT ASTENDRE. Le squat, auussi Précaire Soit-il, reste Parfois Le Dernier Refuge de Milliers de Personnes InvisiblesCelles que l’on ne veut ni le voir niir ni entender, sauf pour les expulser.