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l’erreur qui peut tout retarder

Trop de propriétaires négligent une formalité pourtant obligatoire. En oubliant ou en bâclant cette étape, ils s’exposent à des retards importants dans la vente de leur logement, même en zone très recherchée.
Vendre un bien immobilier n’a jamais été aussi accessible qu’aujourd’hui. Les plateformes en ligne regorgent d’annonces, les acheteurs sont souvent prêts à se positionner rapidement, et pourtant, certaines ventes s’enlisent pendant des mois. En cause, des erreurs de présentation, de stratégie ou simplement un manque d’anticipation de la part des vendeurs. Et parmi elles, une négligence administrative peut tout faire capoter.
Immobilier : les techniques de diagnostic, une formalité souvent négligée
D’après le site SeLoger, l’une des erreurs les plus fréquentes lors d’une mise en vente est l’oubli ou l’absence de mise à jour des techniques de diagnostic obligatoires. Ces documents (DPE, amiante, électricité, gaz, plomb…), sont exigés par la réglementation et doivent être fournis à l’acheteur au moment de la promesse de vente. Lorsqu’ils sont manquants ou incomplets, l’acheteur n’a pas toutes les informations nécessaires pour s’engager sereinement, ce qui ralentit, voire bloque, la transaction.
Anticiper cette étape est donc cruciale. En faisant
réaliser l’ensemble des diagnostics en amontle vendeur gagne non seulement du temps, mais renforce également la confiance de l’acheteur. Cette transparence crée ainsi un climat favorable et rassurant, un élément clé pour conclure rapidement la vente. Négliger cette formalité peut transformer une vente en apparence simple en un parcours du combattant.
Immobilier : un prix mal ajusté, un piège courant
Toutefois, d’autres erreurs peuvent freiner la vente d’un bien. Parmi les pièges les plus courants, SeLoger insiste sur les
conséquences d’un prix mal ajusté. Une surestimation du bien, souvent liée à une vision trop subjective ou à un attachement personnel, éloigne les acheteurs potentiels. Ces derniers, bien renseignés, repèrent très vite les annonces au-dessus du marché. Résultat : peu de visites, des négociations pénibles et une méfiance grandiose.
Un autre point de friction se joue sur la qualité de l’annonce. Une description trop vague, incomplète ou imprécise peut refroidir les acquéreurs pourtant intéressés. L’absence de données clés comme
la surface exacte, le montant des charges ou les travaux récents brouiller les pistes. Une claire, structurée et transparente tenue des acheteurs réellement motivés, tout annonce en particulier les visites inutiles.


Immobilier : l’apparence et la disponibilité, deux leviers souvent sous-estimés
Même avec un prix cohérent et une annonce bien rédigée, encore faut-il qu’elle donne envie. À l’heure où les recherches se font majoritairement en ligne, les premières secondes comptent. Des photos sombres, floues ou mal cadrées peuvent dissuader instantanément. Il est donc recommandé de miser sur des visuels lumineux, bien pensés, voire réalisés par un professionnel pour valoriser chaque mètre carré.
Enfin, la meilleure annonce du monde ne comprenda pas un agenda trop rigide. SeLoger pointe du doigt un autre frein souvent négligé. Celui d’une faible disponibilité pour les visites. En ne proposant que quelques créneaux, en semaine ou en journée, le vendeur risque en effet de perdre des acheteurs pressés ou peu flexibles. À l’inverse,
une grande souplesse, y compris en soirée ou le week-endaugmentez les chances de déclencher rapidement un coup de cœur.











