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Plante « morte » en novembre 2025 : ce bain de survie en moins de 48 h et la règle d’arrosage de la Royal Horticultural Society à connaître avant de la jeter

Plante « morte » en novembre 2025 : ce bain de survie en moins de 48 h et la règle d’arrosage de la Royal Horticultural Society à connaître avant de la jeter


Plante « morte » en novembre 2025 : ce bain de survie en moins de 48 h et la règle d’arrosage de la Royal Horticultural Society à connaître avant de la jeter

Feuilles pendantes, terreau sec, vous pensez avoir tout tenté et encore chercher plante morte que faire ? Avant de jeter le pot, un bain de survie des racines peut parfois réveiller votre plante en moins de 48 heures.

Un matin, en ouvrant les volets, la scène fait mal au cœur : feuilles pendantes, tiges molles, terreau qui semble aussi sec que du sable. Votre plante verte adorée à l’air d’avoir tout simplement rendu l’âme. Beaucoup se disent alors que la partie est perdue et finissent par jeter le pot à la poubelle, persuadés qu’il n’y a plus rien à tenter.

En réalité, derrière cette allure de plante “morte”, il s’agit souvent d’une fausse alerte lié à un gros coup de soif, à l’air sec du chauffage ou à une motte devenue tellement sèche qu’elle ne boit plus du tout l’eau. La fameuse question surgit : plante morte, que faire avant de baisser les bras ? Quand les racines gardent encore un peu de vie, un
bain de survie bien réalisé peut la faire repartir en moins de 48 heures… à condition de un protocole précis.

Plante morte que faire : commencer par vérifier si elle est vraiment perdue

Avant d’envisager le moindre sauvetage, il faut distinguer la plante en détresse de celle qui est réellement condamnée. Une plante qui semble morte présente souvent des feuilles flétries, des tiges molles, une couleur terne ou brune, surtout en fin d’automne quand les radiateurs tournent et que la lumière baisse. Pourtant, tant que les racines restent un minimum souples et pâles, la plante garde une capacité de récupération insoupçonnée.

Le bon réflexe consiste à sortir délicatement de son pot et à observer la base du système racinaire. Si les racines sont majoritairement beiges ou blanchâtres, fermes au toucher, sans odeur de moisi, l’espoir est permis. En revanche, si elles sont presque toutes noires, spongieuses, qui se délitent entre les doigts avec une odeur de pourriture, il est souvent trop tard. Quand le cœur des racines semble encore vivant, le geste d’urgence à tenter, avant toute chose, reste ce fameux bain de survie.

Le bain de survie : le geste simple qui peut réveiller une plante en 48 heures

Le principe est déroutant mais très simple : immerger totalement les racines pour les réhydrater de l’intérieur. On commence par dépoter la plante en douceur, en desserrant la motte à la main. On brosse ou tapote délicatement la terre autour des racines pour enlever le maximum de substrat sec, sans tirer ni casser les parties encore blanches ou souples, et en coupant seulement les racines vraiment noires, molles ou complètement sèches. Ensuite, on remplit un bassin avec de l’eau à température ambiante, autour de 20-22 °C, puis on plonge tout le système racinaire pendant
30 minutespas plus, pour limiter le risque de pourriture.

Après ces 30 minutes clés, on laisse s’égoutter les racines à l’air libre une dizaine de minutes, puis on remet la plante dans un terreau léger, légèrement humide, dans un pot propre et drainant. Point crucial : ne pas arroser immédiatement. On installe la plante près d’une fenêtre, mais sans soleil direct qui pourrait la brûler derrière une vitre, et à distance des radiateurs lumineux et des courants d’air froid. Dans de nombreux cas, les premiers signes de reprise apparaissent dès le lendemain ou dans les 48 heures : tiges qui se redressent un peu, feuillage moins mou, couleurs qui se ravivent. Pour une plante en détresse d’automne, la différence peut être spectaculaire en seul quelques jours.

Après le sauvetage : ce geste vital de la RHS pour éviter la noyade hivernale

Une fois votre plante remise d’aplomb, l’enjeu est de ne pas la perdre de nouveau… cette fois par excès d’eau. La Royal Horticultural Society rappelle que, pour les plantes en pot, “En raison de leur volume racinaire limité, les plantes en contenant dépendant de nous pour recevoir l’eau dont elles ont besoin, et pour que nous veillions à ce qu’elles ne soient pas trop arrosées”. Elle ajoute que “le sur arrosage est la cause la plus fréquente de perte des plantes en pot : l’arrosage doit garder le compost humide, jamais détrempé, et éviter d’alterner sécheresse et saturation”, souligne la Royal Horticultural Society, citée par
Mon Jardin Ma Maison. En hiver, le danger vient autant des arrosoirs trop généreux que des pluies qui remplissent soucoupes et bacs sur les balcons.

Dans ses recommandations de saison, la Royal Horticultural Society conseille aussi, toujours relayée par Mon Jardin Ma Maisonde “sur élever les contenants sur des pieds pour éviter la saturation en eau. Par temps très humide, surélevez les pots du sol grâce à des “pieds’ ou équivalents pour que le fond du pot ne trempe pas dans l’eau stagnante”. Retirez les soucoupes pendant l’hiver, vérifiez que les trous de drainage ne sont pas bouchés et rapprochez les pots d’un mur abrité limite encore les risques. Les plantes persistantes en pot ont besoin d’un contrôle régulier de l’humidité, tandis que les Les plantes caduques ou en dormance demandent très peu d’eau en saison froide En combinant ce.
bain de survie en cas d’urgence et ces quelques gestes de prévention, une plante qui paraissait fichue peut vraimment retrouver une belle seconde vie.

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